Publié le 01/02/2018 à 06:34
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Le procès du braquage de bijoux à l'aéroport de Zaventem à Bruxelles en 2013, s'est ouvert hier dans la capitale belge.
Alors que 19 personnes sont soupçonnées d'avoir participé de près ou de loin à ce "casse", la première journée du procès s'est tenue en l'absence du principal suspect, le Messin Marc Bertoldi. Déjà condamné à de la prison, l'homme faisait partie du groupe interpellé après le casse de Bruxelles en 2013.
Marc Bertoldi, qui n'a pas été extradé de France, sera jugé par défaut car le président du tribunal correctionnel a rejeté hier matin la demande de disjonction présentée par son avocat. Le procès doit durer jusqu'à la fin de la semaine prochaine.
18 février 2013
Les faits remontent au 18 février 2013. Vers 20h00, lorsque deux véhicules avaient enfoncé la clôture d'un chantier pour pénétrer sur le tarmac de l'aéroport. Un fourgon de transports de fonds devait alors être embarqué, destination Zurich en Suisse. Mais avant l'embarquement, huit hommes armés de fusils mitrailleurs, encagoulés et porteurs d'uniformes de policier avaient surgit avant de braquer les pilotes de l'avion et les transporteurs de fonds, sans tirer un coup de feu.
Le butin emporté a été estimé à 38 millions d'euros. Les véhicules qui ont servi au "casse" seront retrouvés incendiés quelques semaines plus tard et les suspects dans cette affaire seront pincés grâce au travail des enquêteurs belges, suisse et français, qui interpelleront une trentaine de personnes. Finalement 16 hommes, et trois femmes ont été renvoyés devant la justice belge pour répondre de leur responsabilité dans le braquage. PLusieurs milliers d'euros avaient été retrouvés aux domiciles de certains suspects dont une somme de 50 000 euros, dissimulée dans une peluche chez l'un des "cerveaux" du casse. (avec l'essentiel/AFP)
Alors que 19 personnes sont soupçonnées d'avoir participé de près ou de loin à ce "casse", la première journée du procès s'est tenue en l'absence du principal suspect, le Messin Marc Bertoldi. Déjà condamné à de la prison, l'homme faisait partie du groupe interpellé après le casse de Bruxelles en 2013.
Marc Bertoldi, qui n'a pas été extradé de France, sera jugé par défaut car le président du tribunal correctionnel a rejeté hier matin la demande de disjonction présentée par son avocat. Le procès doit durer jusqu'à la fin de la semaine prochaine.
18 février 2013
Les faits remontent au 18 février 2013. Vers 20h00, lorsque deux véhicules avaient enfoncé la clôture d'un chantier pour pénétrer sur le tarmac de l'aéroport. Un fourgon de transports de fonds devait alors être embarqué, destination Zurich en Suisse. Mais avant l'embarquement, huit hommes armés de fusils mitrailleurs, encagoulés et porteurs d'uniformes de policier avaient surgit avant de braquer les pilotes de l'avion et les transporteurs de fonds, sans tirer un coup de feu.
Le butin emporté a été estimé à 38 millions d'euros. Les véhicules qui ont servi au "casse" seront retrouvés incendiés quelques semaines plus tard et les suspects dans cette affaire seront pincés grâce au travail des enquêteurs belges, suisse et français, qui interpelleront une trentaine de personnes. Finalement 16 hommes, et trois femmes ont été renvoyés devant la justice belge pour répondre de leur responsabilité dans le braquage. PLusieurs milliers d'euros avaient été retrouvés aux domiciles de certains suspects dont une somme de 50 000 euros, dissimulée dans une peluche chez l'un des "cerveaux" du casse. (avec l'essentiel/AFP)