Publié le 02/12/2013 à 23:00
Temps de lecture : 2
min

Deux vidéos postées sur internet secouent l'administration pénitentiaire de Montmédy dans la Meuse.
Ce sont nos confrères de l'Est Républicain qui révèlent cette information.
Des détenus ont tourné en toute illégalité des vidéos avec des téléphones portables, avant de les poster sur la toile.
Sur les bandes vidéos, les prisonniers dansent au rythme du Harlem Shake, fument des joints et imitent des gardiens de prisons.
Un détenu «Krimo» est notamment filmé au téléphone portable par un comparse. Vêtu d’une veste de l’administration pénitentiaire frappée d’un écusson, le jeune homme fanfaronne.
«Wesh surveillant qu’est-ce que tu fais ?», lui demande-t-on. «Je fouille pas aujourd’hui», répond-il.
«Si tous les surveillants y seraient comme toi, on serait trop bien en prison», se félicite le vidéaste. Clamant son appartenance au collectif «Gangster D-ter», qui avait déjà fait parler dans une affaire de menaces avec armes
La première vidéo a été postée courant novembre avant d'être retirée à la demande de l'administration pénitentiare.
La seconde a été ajoutée il y a quelques jours.
Une enquête administrative a été ouverte pour savoir comment les détenus ont pu filmer ces vidéos et se procurer ce vêtement.
Ce sont nos confrères de l'Est Républicain qui révèlent cette information.
Des détenus ont tourné en toute illégalité des vidéos avec des téléphones portables, avant de les poster sur la toile.
Sur les bandes vidéos, les prisonniers dansent au rythme du Harlem Shake, fument des joints et imitent des gardiens de prisons.
Un détenu «Krimo» est notamment filmé au téléphone portable par un comparse. Vêtu d’une veste de l’administration pénitentiaire frappée d’un écusson, le jeune homme fanfaronne.
«Wesh surveillant qu’est-ce que tu fais ?», lui demande-t-on. «Je fouille pas aujourd’hui», répond-il.
«Si tous les surveillants y seraient comme toi, on serait trop bien en prison», se félicite le vidéaste. Clamant son appartenance au collectif «Gangster D-ter», qui avait déjà fait parler dans une affaire de menaces avec armes
La première vidéo a été postée courant novembre avant d'être retirée à la demande de l'administration pénitentiare.
La seconde a été ajoutée il y a quelques jours.
Une enquête administrative a été ouverte pour savoir comment les détenus ont pu filmer ces vidéos et se procurer ce vêtement.