Réforme du code du travail nécessaire aujourd'hui pour près d'un français sur deux
56% des sondés pensent que l'actuel Code du travail constitue un frein à l’embauche pour les entreprises.
56% des sondés par Odoxa pensent que l'actuel Code du travail constitue un frein à l’embauche pour les entreprises. Et c'est à cela qu'Emmanuel Macron dit vouloir s'atteler : relancer l'embauche et la compétitivité.
La réforme vise à convaincre les patrons d'aller en ce sens.
La réforme par ordonnance du droit du travail apparaît comme une mauvaise idée pour 63% des sondés, soit +11% par rapport à mai 2017. Les Français sont également défavorables à 61% au plafonnement des indemnités prud'homales versées aux salariés dont le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse, une mesure qui figure au programme de la réforme du code du travail.
Quatre personnes interrogées sur cinq (80%) pensent que la réforme du code du travail pourra déboucher sur un mouvement de contestation généralisé à la rentrée. Enquête réalisée en ligne les 24 et 25 août 2017 auprès de 1.005 personnées de 18 ans et plus selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points. À noter aussi dans ce sondage : la cote de popularité du chef de l'Etat.
La chute est de 14 points. Cette nouvelle attente sur sa capacité à réformer constitue déjà challenge de taille pour le Président et son gouvernement.
La réforme vise à convaincre les patrons d'aller en ce sens.
La réforme par ordonnance du droit du travail apparaît comme une mauvaise idée pour 63% des sondés, soit +11% par rapport à mai 2017. Les Français sont également défavorables à 61% au plafonnement des indemnités prud'homales versées aux salariés dont le licenciement est jugé sans cause réelle et sérieuse, une mesure qui figure au programme de la réforme du code du travail.
Quatre personnes interrogées sur cinq (80%) pensent que la réforme du code du travail pourra déboucher sur un mouvement de contestation généralisé à la rentrée. Enquête réalisée en ligne les 24 et 25 août 2017 auprès de 1.005 personnées de 18 ans et plus selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points. À noter aussi dans ce sondage : la cote de popularité du chef de l'Etat.
La chute est de 14 points. Cette nouvelle attente sur sa capacité à réformer constitue déjà challenge de taille pour le Président et son gouvernement.
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