Remaniement ministériel : Bayrou out
Le nouveau gouvernement qui doit être annoncé aujourd'hui se fera sans François Bayrou, qui a annoncé sa démission de son poste de ministre de la Justice
Alors que le remaniement ministériel post-législatives devait être limité, le ministre de la Justice, François Bayrou, et la secrétaire d'Etat aux Affaires européennes, Marielle de Sarnez, ont annoncé à l'AFP qu'ils ne feront pas partie de la prochaine équipe gouvernementale. Il n'y a donc plus de ministre MoDem dans le gouvernement d'Edouard Philippe.
Ces départs du gouvernement s'ajoutent à celui du ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand, qui brigue la présidence du groupe La République en marche (LREM) à l'Assemblée nationale, et à celui de la ministre des Armées, Sylvie Goulard, qui a indiqué ce mardi souhaiter «être en mesure de démontrer librement [sa] bonne foi» dans l'enquête préliminaire visant son parti, le MoDem. Une enquête préliminaire pour abus de confiance, visant 19 eurodéputés de différents partis, dont la ministre Marielle de Sarnez, a été ouverte le 22 mars par le parquet de Paris, à la suite du signalement d'une eurodéputée du Front national, Sophie Montel, qui dénonçait des cas d'assistants parlementaires cumulant leur travail au Parlement européen avec des fonctions au sein d'un parti politique.
Selon les principales rumeurs sur le remaniement, le Président Macron pourrait choisir de poursuivre l'ouverture à droite et/ou à gauche.
Ces départs du gouvernement s'ajoutent à celui du ministre de la Cohésion des territoires, Richard Ferrand, qui brigue la présidence du groupe La République en marche (LREM) à l'Assemblée nationale, et à celui de la ministre des Armées, Sylvie Goulard, qui a indiqué ce mardi souhaiter «être en mesure de démontrer librement [sa] bonne foi» dans l'enquête préliminaire visant son parti, le MoDem. Une enquête préliminaire pour abus de confiance, visant 19 eurodéputés de différents partis, dont la ministre Marielle de Sarnez, a été ouverte le 22 mars par le parquet de Paris, à la suite du signalement d'une eurodéputée du Front national, Sophie Montel, qui dénonçait des cas d'assistants parlementaires cumulant leur travail au Parlement européen avec des fonctions au sein d'un parti politique.
Selon les principales rumeurs sur le remaniement, le Président Macron pourrait choisir de poursuivre l'ouverture à droite et/ou à gauche.
0 Commentaire