Publié le 18/04/2019 à 03:52
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L'entreprise Le Bras Frères, basée à Jarny, qui montait l'échafaudage autour de la flèche de Notre-Dame de Paris, a «exclu» mercredi «toute responsabilité» dans l'incendie qui a ravagé l'édifice.
«Ils excluent de fait toute responsabilité», a déclaré un porte-parole de l'entreprise à l'AFP, assurant qu'après «le premier choc», elle envisageait la situation avec «sérénité» puisque «les procédures ont été respectées».
Le patron de l'entreprise Julien Le Bras, a précisé que le jour du drame, il n'y a eu aucun travaux par point chaud ou électrique et qu'aucun employé n'était sur le site lors du départ de l'incendie. D'ailleurs, les images d'une caméra posée sur place sont toujours en cours d'analyse.
Toujours selon lui, une «mission d'expertise» est en cours «pour voir comment démonter l'échafaudage (...) fragilisé par l'incendie», l'idée étant de «mettre en place un autre échafaudage pour démonter le premier en toute sécurité». L'échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n'avait encore commencé».
L'entreprise Le Bras Frères, installée à Jarny (Meurthe-et-Moselle), avait remporté un appel d'offres portant sur trois lots, l'échafaudage mais aussi la rénovation de la charpente en bois de la flèche et sa couverture extérieure. Ces deux dernières opérations n'avaient pas encore été engagées. (AFP)
«Ils excluent de fait toute responsabilité», a déclaré un porte-parole de l'entreprise à l'AFP, assurant qu'après «le premier choc», elle envisageait la situation avec «sérénité» puisque «les procédures ont été respectées».
Le patron de l'entreprise Julien Le Bras, a précisé que le jour du drame, il n'y a eu aucun travaux par point chaud ou électrique et qu'aucun employé n'était sur le site lors du départ de l'incendie. D'ailleurs, les images d'une caméra posée sur place sont toujours en cours d'analyse.
Toujours selon lui, une «mission d'expertise» est en cours «pour voir comment démonter l'échafaudage (...) fragilisé par l'incendie», l'idée étant de «mettre en place un autre échafaudage pour démonter le premier en toute sécurité». L'échafaudage, a-t-il précisé, était en cours de construction, devant «être livré à la mi-juillet» et «aucun travail sur la charpente n'avait encore commencé».
L'entreprise Le Bras Frères, installée à Jarny (Meurthe-et-Moselle), avait remporté un appel d'offres portant sur trois lots, l'échafaudage mais aussi la rénovation de la charpente en bois de la flèche et sa couverture extérieure. Ces deux dernières opérations n'avaient pas encore été engagées. (AFP)