La Défense de demain et les innovations pour la zone Est mises en lumière à Metz
Objectif : rester à la pointe, avec des défis comme le cyber, l'intelligence artificielle, ou encore le spatial.
La Défense de demain et les innovations pour la zone Est mises en lumière à Metz C'était le thème d'un colloque hier au Centre des Congrès Robert Schuman à Metz. Organisé par le Conseil Economique Social et Environnemental, il accueillait 350 décideurs politiques, industriels, et militaires. Le ministère des Armées a créé en septembre une agence de l'innovation de défense.
Objectif : rester à la pointe, avec des défis comme le cyber, l'intelligence artificielle, ou encore le spatial.
Emmanuel Chiva, directeur de la nouvelle agence de l'innovation de défense, du ministère des Armées : "Ce qui m'intéresse, c'est de pouvoir anticiper les éventuelles ruptures et se projeter d'ici à 2050. C'est compliqué de se projeter car nous sommes entourés déjà de multiples technologies. Notre travail permettra d'avoir un coup d'avance sur les matériaux et les futurs mécanismes pour assurer face aux défis qui se tiendront devant nous. Il est nécessaire d'innover pour la défense, c'est une question de survie. SI nous n'innovons pas, nous seront déclassés. La France est une nation qui dispose de cette culutre et cette tradition scientique, ce qui permet d'être crédible aux yeux du monde en terme d'innovation. Le chemin est encore long mais nous devons continuer."
Le Général Gilles Lillo, gouverneur militaire de Metz, commandant de la zone de défense Est , a rappellé sur place la nécessité de renforcer les liens entre le monde de l'entreprise, les universités, et la défense nationale : "Avant, c'était la défense qui tirait le progrès. Les lasers ont été développés par les armées. Aujourd'hui, le champs des innovations est plutôt dans le monde civil et l'armée doit s'en inspirer et mettre en lien tous les acteurs du quotidien pour avancer" (s.s).
Avec 4 000 entreprises partenaires du ministère des Armées, 50 000 militaires et agents civils, la défense génère plus de 2 milliards d’euros de retombées chaque année dans le Grand Est.
Objectif : rester à la pointe, avec des défis comme le cyber, l'intelligence artificielle, ou encore le spatial.
Emmanuel Chiva, directeur de la nouvelle agence de l'innovation de défense, du ministère des Armées : "Ce qui m'intéresse, c'est de pouvoir anticiper les éventuelles ruptures et se projeter d'ici à 2050. C'est compliqué de se projeter car nous sommes entourés déjà de multiples technologies. Notre travail permettra d'avoir un coup d'avance sur les matériaux et les futurs mécanismes pour assurer face aux défis qui se tiendront devant nous. Il est nécessaire d'innover pour la défense, c'est une question de survie. SI nous n'innovons pas, nous seront déclassés. La France est une nation qui dispose de cette culutre et cette tradition scientique, ce qui permet d'être crédible aux yeux du monde en terme d'innovation. Le chemin est encore long mais nous devons continuer."
Le Général Gilles Lillo, gouverneur militaire de Metz, commandant de la zone de défense Est , a rappellé sur place la nécessité de renforcer les liens entre le monde de l'entreprise, les universités, et la défense nationale : "Avant, c'était la défense qui tirait le progrès. Les lasers ont été développés par les armées. Aujourd'hui, le champs des innovations est plutôt dans le monde civil et l'armée doit s'en inspirer et mettre en lien tous les acteurs du quotidien pour avancer" (s.s).
Avec 4 000 entreprises partenaires du ministère des Armées, 50 000 militaires et agents civils, la défense génère plus de 2 milliards d’euros de retombées chaque année dans le Grand Est.
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