Les retraités manifesteront demain à Metz
Les retraités dénoncent un gouvernement « qui reste sourd dingue » à leurs revendications.
Les retraités manifesteront demain à Metz mais également le cas dans toute la France, à l'appel de 9 syndicats, dont la CGT, FO, et la CFTC.
Ils réclament la revalorisation de toutes les pensions au même pourcentage que l'évolution des salaires. La suppression de la hausse de la CSG, ainsi que le rattrapage des pertes subies depuis 2014. Autres attentes : une pension minimum à hauteur du SMIC pour une carrière complète. Ou encore, la prise en charge de la perte d'autonomie à 100% par la sécurité sociale.
Enfin, l'amélioration des pensions de réversion figure aussi parmi les revendications du « Printemps des retraités ». Aussi les retraités entendent peser, avant les conclusions du grand débat national.
Le gel des pensions réchauffe la colère
Cette année, c’est le quasi-gel des pensions qui alimente la colère, mais l’exécutif a déjà ouvert la porte à un aménagement en faveur des ménages modestes. Le « groupe des 9 » prévoit de se réunir le 18 avril pour décider des « prolongements utiles » à la journée du 11. Signe que d’autres mobilisations sont envisagées, les revendications se sont étendues au sujet de « la prise en charge de la perte d’autonomie », au cœur de la future réforme de la dépendance, et à « l’amélioration des pensions de réversion », point sensible de la réforme des retraites.
Ils réclament la revalorisation de toutes les pensions au même pourcentage que l'évolution des salaires. La suppression de la hausse de la CSG, ainsi que le rattrapage des pertes subies depuis 2014. Autres attentes : une pension minimum à hauteur du SMIC pour une carrière complète. Ou encore, la prise en charge de la perte d'autonomie à 100% par la sécurité sociale.
Enfin, l'amélioration des pensions de réversion figure aussi parmi les revendications du « Printemps des retraités ». Aussi les retraités entendent peser, avant les conclusions du grand débat national.
Le gel des pensions réchauffe la colère
Cette année, c’est le quasi-gel des pensions qui alimente la colère, mais l’exécutif a déjà ouvert la porte à un aménagement en faveur des ménages modestes. Le « groupe des 9 » prévoit de se réunir le 18 avril pour décider des « prolongements utiles » à la journée du 11. Signe que d’autres mobilisations sont envisagées, les revendications se sont étendues au sujet de « la prise en charge de la perte d’autonomie », au cœur de la future réforme de la dépendance, et à « l’amélioration des pensions de réversion », point sensible de la réforme des retraites.
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