Euro 2018 : les handballeuses françaises tombent sur un os
À Nancy, l'équipe de France a entamé son Euro en s'inclinant face aux championnes olympiques russes (26-23), au bout d'un duel étouffant.
Les handballeuses françaises tombent sur un os !
Face à la Russie championnes olympiques, les bleues qui ouvraient le bal de l'Euro 2018 à Nancy hier soir se sont inclinées 23-26. Devant plus de 5000 personnes au palais des sports de Gentilly, nos françaises n'auront pas démérité, mais les Russes, plus habiles dans la finition auront eu le dernier mot.
La situation n'est pas inquiétante : les Bleues ont encore deux matches (la Slovénie dimanche et le Monténégro mardi) pour valider leur place au tour principal. Mais le coup d'éclat espéré par Krumbholz n'a pas eu lieu. On préférera donc se souvenir qu'en ouverture du Mondial 2017, l'équipe de France s'était inclinée face à la Slovénie avant d'aller chercher l'or, deux semaines plus tard.
« Les Russes étaient plus fortes, particulièrement dans le dernier quart d'heure. Elles étaient plus précises dans leur jeu, dans les tirs notamment. Elles avaient plus d'énergie. C'est une équipe qu'il ne faut pas laisser jouer et nous n'avions plus la force pour leur poser des problèmes avec notre défense sur la fin », a commenté le sélectionneur Olivier Krumbholz, notant tout de même les progrès de ses joueuses par rapport à la Golden League le week-end dernier.
Face à la Russie championnes olympiques, les bleues qui ouvraient le bal de l'Euro 2018 à Nancy hier soir se sont inclinées 23-26. Devant plus de 5000 personnes au palais des sports de Gentilly, nos françaises n'auront pas démérité, mais les Russes, plus habiles dans la finition auront eu le dernier mot.
La situation n'est pas inquiétante : les Bleues ont encore deux matches (la Slovénie dimanche et le Monténégro mardi) pour valider leur place au tour principal. Mais le coup d'éclat espéré par Krumbholz n'a pas eu lieu. On préférera donc se souvenir qu'en ouverture du Mondial 2017, l'équipe de France s'était inclinée face à la Slovénie avant d'aller chercher l'or, deux semaines plus tard.
« Les Russes étaient plus fortes, particulièrement dans le dernier quart d'heure. Elles étaient plus précises dans leur jeu, dans les tirs notamment. Elles avaient plus d'énergie. C'est une équipe qu'il ne faut pas laisser jouer et nous n'avions plus la force pour leur poser des problèmes avec notre défense sur la fin », a commenté le sélectionneur Olivier Krumbholz, notant tout de même les progrès de ses joueuses par rapport à la Golden League le week-end dernier.
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