Possible intervention avant mercredi prochain selon François Hollande
Le président à déclaré au journal le Monde qu'il n'excluait pas une intervention en Syrie avant mercredi, jour du débat au Parlement.
Dans une interview au journal le Monde, le chef de l’État François Hollande a déclaré que le non des Britanniques ne changeait pas la position de la France, et qu'il n'excluait pas une intervention en Syrie avant mercredi, jour du débat au Parlement.
"La France veut une action proportionnée et ferme contre le régime de Damas" , déclare le chef de l'Etat, qui indique "un faisceau d'indices dans le sens de la responsabilité du régime de Damas".
Hier : Alors que Washington recherche la coalition, les britanniques tournent le dos.
Il s'agit d'un revers de taille pour David Cameron.
La motion présentée par le Premier ministre britannique sur une intervention militaire en Syrie a été rejetée hier soir par la Chambre des Communes, par 285 voix contre 272 après sept heures de discussions à la Chambre des Communes, qui avait été convoquée en session extraordinaire par le Premier ministre.
De nombreux parlementaires, hantés par le précédent irakien et les prétendues armes de destruction massive de Saddam Hussein, avaient exprimé leur scepticisme lors des débats.
Après ce revers, David Cameron a promis de tenir compte du "scepticisme" de l'opinion publique et du Parlement à propos d'une action militaire en Syrie et a ajouté qu'il agirait en conséquence.
"La France veut une action proportionnée et ferme contre le régime de Damas" , déclare le chef de l'Etat, qui indique "un faisceau d'indices dans le sens de la responsabilité du régime de Damas".
Hier : Alors que Washington recherche la coalition, les britanniques tournent le dos.
Il s'agit d'un revers de taille pour David Cameron.
La motion présentée par le Premier ministre britannique sur une intervention militaire en Syrie a été rejetée hier soir par la Chambre des Communes, par 285 voix contre 272 après sept heures de discussions à la Chambre des Communes, qui avait été convoquée en session extraordinaire par le Premier ministre.
De nombreux parlementaires, hantés par le précédent irakien et les prétendues armes de destruction massive de Saddam Hussein, avaient exprimé leur scepticisme lors des débats.
Après ce revers, David Cameron a promis de tenir compte du "scepticisme" de l'opinion publique et du Parlement à propos d'une action militaire en Syrie et a ajouté qu'il agirait en conséquence.
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