Affaire Grégory : les dîtes "pressions " subies par Murielle Bolle après avoir dénoncé Bernard Laroche, dans les mains d'Anacrim

Le logiciel des policiers devra dire si Murielle Bolle a subit une correction physique et mentale de la part de sa famille après ses déclarations pour finalement se rétracter en 1984.
Publié le 06/04/2018 à 04:05
Temps de lecture : 2 min
Affaire Grégory : les dîtes "pressions " subies par Murielle Bolle après avoir dénoncé Bernard Laroche, dans les mains d'Anacrim
Dans l'affaire Grégory, les dîtes "pressions et coups" reçus par Murielle Bolle après avoir dénoncé Bernard Laroche, dans les mains d'Anacrim.

Les gendarmes viennent de procéder à l’analyse criminelle des vingt jours qui ont suivi les déclarations et les journées qui ont suivi les aveux et la marche arière de Murielle Bolle. Selon les précisions du Républicain Lorrain, le logiciel Anacrim a pu décortiquer les emplois du temps de Murielle Bolle et de ses proches.

Aujourd'hui, les résultats ne sont pas encore connus, mais pour Claire Barbier, la juge d’instruction de Dijon, la solution de l’énigme de la Vologne se trouve dans la réponse à cette question. Murielle Bolle a-t-elle subit une correction physique et mentale de la part de sa famille après ses déclarations pour qu'elle puisse finalement se rétracter et innocenter son beau-frère début novembre 1984 ?

On rappelle que cette ananlyse repose aussi sur le témoignage capital d'un des cousins de Murielle Bolle qui s'est manifesté il y a peu et affirmant que la jeune femme, au moment des faits, avait bien été battue pour se rétracter face aux enquêteurs. Affaire à suivre.