Jarny : Francis promet de se battre jusqu'au bout pour le bien de sa famille
Après l'agression sexuelle de sa fille en 2016, un famille jarnysienne qui ne vit qu'à 20 mètres de l'agresseur demande son départ. Mais tous ses appels restent aujourd'hui sans réponses.
Depuis juillet 2016, le sort s'acharne sur une famille originaire de Jarny en Meurthe et Moselle.
Souvenez-vous, tout a commencé lorsque leur fille, âgée de 9 ans au moment des faits, va chercher une voisine de son âge pour jouer avec elle. Mais la fillette est absente. C’est son père, un sexagénaire, qui reçoit la petite. Il lui aurait alors fait subir des attouchements sexuels, en tentant d’acheter son silence contre une pièce de 2 €. depuis, l'homme qui a refusé les tests ADN, a été condamné par la justice à un an de prison avec sursis et dommages et intérêts...
Mais la famille de la petite victime de 9 ans et la famille et les proches de l'accusé, ne vivent qu'à 20 mètres les uns des autres et les affronts et les insultes, suite à cette affaire, continuent...
Aujourd'hui, Francis le père de la fillette abusée, souhaite que ces personnes quittent le quartier et attend un mouvement des politiques en sa faveur : "Il faut que les choses bougent, j'ai perdu 15kg, je ne dors plus mon patron m'a aménagé mes horaires pour être auprès des miens et les protéger. Ses gens habitent à 20 mètres et nous insultent nous bousculent et nous cherchent des problèmes. Ils doivent partir car ils nous pourrissent la vie. Ils ont déjà été expulsés par le passé mais aujourd'hui il est impossible de les déboulonner. Beaucoup de monde voit ce qu'il se passe et les agressions dont nous sommes victimes. Le problème c'est que personne ne parle et ne témoigne".
Action devant la mairie et grève de la faim
Le père de famille qui a perdu près de 15 kg depuis le début de cette affaire, promet de mener son combat jusqu'au bout et prévient qu'il s'attachera devant la mairie et mènera une grève de la faim pour éveiller les conscience et fairte en sorte que les choses bougent. "J'ai contacté l'Elysée, les grandes chaînes de TV. Dès le printemps, les choses vont bouger, croyez-moi ".
Condamnation
Après jugement, le sexagénaire a été condamné à un an de prison avec sursis, à verser 6 000 € à la jeune fille au nom de son préjudice moral, et 500 € à chacun des deux parents.
Souvenez-vous, tout a commencé lorsque leur fille, âgée de 9 ans au moment des faits, va chercher une voisine de son âge pour jouer avec elle. Mais la fillette est absente. C’est son père, un sexagénaire, qui reçoit la petite. Il lui aurait alors fait subir des attouchements sexuels, en tentant d’acheter son silence contre une pièce de 2 €. depuis, l'homme qui a refusé les tests ADN, a été condamné par la justice à un an de prison avec sursis et dommages et intérêts...
Mais la famille de la petite victime de 9 ans et la famille et les proches de l'accusé, ne vivent qu'à 20 mètres les uns des autres et les affronts et les insultes, suite à cette affaire, continuent...
Aujourd'hui, Francis le père de la fillette abusée, souhaite que ces personnes quittent le quartier et attend un mouvement des politiques en sa faveur : "Il faut que les choses bougent, j'ai perdu 15kg, je ne dors plus mon patron m'a aménagé mes horaires pour être auprès des miens et les protéger. Ses gens habitent à 20 mètres et nous insultent nous bousculent et nous cherchent des problèmes. Ils doivent partir car ils nous pourrissent la vie. Ils ont déjà été expulsés par le passé mais aujourd'hui il est impossible de les déboulonner. Beaucoup de monde voit ce qu'il se passe et les agressions dont nous sommes victimes. Le problème c'est que personne ne parle et ne témoigne".
Action devant la mairie et grève de la faim
Le père de famille qui a perdu près de 15 kg depuis le début de cette affaire, promet de mener son combat jusqu'au bout et prévient qu'il s'attachera devant la mairie et mènera une grève de la faim pour éveiller les conscience et fairte en sorte que les choses bougent. "J'ai contacté l'Elysée, les grandes chaînes de TV. Dès le printemps, les choses vont bouger, croyez-moi ".
Condamnation
Après jugement, le sexagénaire a été condamné à un an de prison avec sursis, à verser 6 000 € à la jeune fille au nom de son préjudice moral, et 500 € à chacun des deux parents.
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