Jarny : Francis Siedlewski sera fixé le 25 juin
Le jarnysien qui a obtenu une audience devant la cour d'appel de Nancy hier pour étudier une mesure d'éloignement de l'agresseur de sa fille, sera fixé dans un mois.
Le père de famille était défait à la sortie de la cour d'appel de Nancy hier soir.
Francis Siedlewski, qui se bat pour l'honneur de sa fille, attouchée sexuellement par un voisin confondu par son ADN, demande depuis des mois une mesure d'éloignement de cet agresseur qui ne vit qu'à 22 mètres de chez lui.
Les débats ont été mouvementés avec une première interruption d'audience, faute d'interprète pour l'agresseur présumé, d'origine algérienne et ne parlant que moyennement le français. Puis peu après en salle des pas perdus, ou 3 jeunes victimes de cet homme, prêtes à témoigner à la barre, ont été prises à partie par la famille adverse.
L'avocat de la partie civile appelle son client au calme et à la patience alors que son homologue de la défense, s'en est pris directement au père de famille disant qu'il en a fait trop durant les débats. Il n'a pas hésité a réfuter plusieurs éléments de preuves ammenés par le père de famille, tout en remettant en doite également les traces ADN retrouvées sur les sous vêtements de la jeune fille agressée.
Les réquisitions à l'encontre de l'agresseur présumé sont celles-ci : 1 an d'emprisonnement avec sursis avec mise à l'épreuve et obligation de soins. L'homme, expertisé invalide, a aussi l'interdiction formelle de rentrer en contact avec la famille Siedlewski et surtout avec leur petite fille.
Or, la mesure d'éloignement est quasiment passée inapeçue hier lors des débats qui se sont tenus à huis clôs.
Une nouvelle convocation accompagnée du verdict dans cette affaire est prévu le 25 juin prochain.
Francis Siedlewski, qui se bat pour l'honneur de sa fille, attouchée sexuellement par un voisin confondu par son ADN, demande depuis des mois une mesure d'éloignement de cet agresseur qui ne vit qu'à 22 mètres de chez lui.
Les débats ont été mouvementés avec une première interruption d'audience, faute d'interprète pour l'agresseur présumé, d'origine algérienne et ne parlant que moyennement le français. Puis peu après en salle des pas perdus, ou 3 jeunes victimes de cet homme, prêtes à témoigner à la barre, ont été prises à partie par la famille adverse.
L'avocat de la partie civile appelle son client au calme et à la patience alors que son homologue de la défense, s'en est pris directement au père de famille disant qu'il en a fait trop durant les débats. Il n'a pas hésité a réfuter plusieurs éléments de preuves ammenés par le père de famille, tout en remettant en doite également les traces ADN retrouvées sur les sous vêtements de la jeune fille agressée.
Les réquisitions à l'encontre de l'agresseur présumé sont celles-ci : 1 an d'emprisonnement avec sursis avec mise à l'épreuve et obligation de soins. L'homme, expertisé invalide, a aussi l'interdiction formelle de rentrer en contact avec la famille Siedlewski et surtout avec leur petite fille.
Or, la mesure d'éloignement est quasiment passée inapeçue hier lors des débats qui se sont tenus à huis clôs.
Une nouvelle convocation accompagnée du verdict dans cette affaire est prévu le 25 juin prochain.
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