Publié le 26/01/2018 à 05:38
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La haute sphère de la police de Saint-Avold, pointée du doigt après le suicide d'un fonctionnaire.
Le drame s'était joué dimanche lorsque le policier de la brigade de nuit s'est tué avec son arme de service selon cette information de nos confrères de France Bleu. Mercredi soir, une soixantaine de policiers se sont donc rassemblés devant le commissariat de Freyming-Merlebach, dont dépend celui de St-Avold. Sur place, les personnes ont dénoncé les conditions dans lesquelles vivait cet homme de 46 ans.
Selon ses collègues, la victime souffrait depuis une dizaine de jours, et subissait une pression, et se voyait mettre en doute ses capacités professionnelles. Selon la compagne du défunt, des decisions prises à son encontre par la hiérarchie auraient précipité son geste.
Une enquête a été ouverte.
Le drame s'était joué dimanche lorsque le policier de la brigade de nuit s'est tué avec son arme de service selon cette information de nos confrères de France Bleu. Mercredi soir, une soixantaine de policiers se sont donc rassemblés devant le commissariat de Freyming-Merlebach, dont dépend celui de St-Avold. Sur place, les personnes ont dénoncé les conditions dans lesquelles vivait cet homme de 46 ans.
Selon ses collègues, la victime souffrait depuis une dizaine de jours, et subissait une pression, et se voyait mettre en doute ses capacités professionnelles. Selon la compagne du défunt, des decisions prises à son encontre par la hiérarchie auraient précipité son geste.
Une enquête a été ouverte.