Publié le 05/12/2013 à 23:00
Temps de lecture : 3
min

L'hommage planétaire à Nelson Mandela se poursuit.
La mort, cette nuit, à l'age de 95 ans du premier président noir d'Afrique du Sud et icône de la lutte contre l'injustice, a suscité une vague immédiate d'émotion à travers le monde et un afflux d'hommages sans précédent.
Les réactions des différents chefs d'état se succèdent. Le président français François Hollande a ainsi vu en lui "un résistant exceptionnel", "un combattant magnifique" : il a été "l'incarnation de la Nation sud-africaine, le ciment de son unité et la fierté de toute l'Afrique".
Aux Etats-Unis, Barack Obama, a fait mettre les drapeaux en berne, soulignant que cet homme "a transformé l'Afrique du Sud et nous a tous émus".
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, a salué une "source d'inspiration" pour le monde.
Au Royaume-Uni, la reine Elizabeth II, qui s'est dite "profondément attristée".
En région, Le député socialiste de Meurthe-et-Moselle Christian Eckert ne souhaite pas rendre hommage à Nelson Mandela.
Sur son blog, Il a dénoncé ce matin «un bal des hypocrites».
Ses obsèques auront lieu le 15 décembre à Qunu, son village natal.
Le 10 décembre, une cérémonie nationale d'hommage se déroulera au stade de Soweto.
Sa dépouille sera exposée au siège de la présidence à Pretoria, du 11 au 13 décembre.
Icône :
Leader du combat des Noirs contre la ségrégation de l'apartheid, Nelson Mandela a passé 27 ans de sa vie en détention.
Libéré en 1990, le plus célèbre prisonnier politique du monde devint quatre ans plus tard le premier président noir démocratiquement élu de son pays (1994-1999).
Il s'était retiré dès la fin de son mandat, pour se consacrer à la protection de l'enfance et à la lutte contre le sida, fléau de l'Afrique du Sud.
L'ex-président avait été récompensé du prix Nobel de la paix en 1993.
La mort, cette nuit, à l'age de 95 ans du premier président noir d'Afrique du Sud et icône de la lutte contre l'injustice, a suscité une vague immédiate d'émotion à travers le monde et un afflux d'hommages sans précédent.
Les réactions des différents chefs d'état se succèdent. Le président français François Hollande a ainsi vu en lui "un résistant exceptionnel", "un combattant magnifique" : il a été "l'incarnation de la Nation sud-africaine, le ciment de son unité et la fierté de toute l'Afrique".
Aux Etats-Unis, Barack Obama, a fait mettre les drapeaux en berne, soulignant que cet homme "a transformé l'Afrique du Sud et nous a tous émus".
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon, a salué une "source d'inspiration" pour le monde.
Au Royaume-Uni, la reine Elizabeth II, qui s'est dite "profondément attristée".
En région, Le député socialiste de Meurthe-et-Moselle Christian Eckert ne souhaite pas rendre hommage à Nelson Mandela.
Sur son blog, Il a dénoncé ce matin «un bal des hypocrites».
Ses obsèques auront lieu le 15 décembre à Qunu, son village natal.
Le 10 décembre, une cérémonie nationale d'hommage se déroulera au stade de Soweto.
Sa dépouille sera exposée au siège de la présidence à Pretoria, du 11 au 13 décembre.
Icône :
Leader du combat des Noirs contre la ségrégation de l'apartheid, Nelson Mandela a passé 27 ans de sa vie en détention.
Libéré en 1990, le plus célèbre prisonnier politique du monde devint quatre ans plus tard le premier président noir démocratiquement élu de son pays (1994-1999).
Il s'était retiré dès la fin de son mandat, pour se consacrer à la protection de l'enfance et à la lutte contre le sida, fléau de l'Afrique du Sud.
L'ex-président avait été récompensé du prix Nobel de la paix en 1993.