22 juin : Journée nationale du don d'organes
Aujourd’hui, c’est la journée de réflexion et de reconnaissance aux donneurs. La loi a clarifié les modalités pour refuser de donner ses organes en cas de décès.
En France, près de 24 000 patients sont dans l’attente d’un greffon pour survivre. Depuis janvier 2017, la loi a changé les modalités d’expression du refus du don pour faciliter le travail des équipes médicales.
Le principe reste le même depuis la loi Caillavet de 1976 – tous les défunts sont potentiellement des donneurs d’organes. Mais, à présent, si vous ne voulez pas donner, il faut clairement l’exprimer, soit à travers un registre national des refus, soit en faisant part de cette décision vos proches. Résultat : le nombre de personnes inscrites au registre des refus a bondi.
Elles étaient 90 000 avant la loi Santé de Marisol Touraine, elles sont 300 000 en 2017. 300 000 au registre des refus Ce nombre important ne doit pas cacher une autre réalité : le taux de refus de dons d’organe a, lui, baissé. Il est passé de 33 % en 2016 à 30,5 % l’an dernier, selon l’Agence de biomédecine. Elle mise sur cette nouvelle journée d’information pour sensibiliser les Français. « Quand tout va bien, on n’y pense pas.
Le don d’organe n’est pas un sujet dont on a envie de parler à un dîner en famille. Pourtant, on peut tous se retrouver un jour dans une situation de receveur », raconte Sébastien, 48 ans. Pour lui, tout a basculé en octobre 2017. Souffrant d’une pathologie du cœur diagnostiquée au cours d’un examen de routine en 2004, il a enchaîné traitements médicamenteux et pose de défibrillateurs cardiaques.
Le principe reste le même depuis la loi Caillavet de 1976 – tous les défunts sont potentiellement des donneurs d’organes. Mais, à présent, si vous ne voulez pas donner, il faut clairement l’exprimer, soit à travers un registre national des refus, soit en faisant part de cette décision vos proches. Résultat : le nombre de personnes inscrites au registre des refus a bondi.
Elles étaient 90 000 avant la loi Santé de Marisol Touraine, elles sont 300 000 en 2017. 300 000 au registre des refus Ce nombre important ne doit pas cacher une autre réalité : le taux de refus de dons d’organe a, lui, baissé. Il est passé de 33 % en 2016 à 30,5 % l’an dernier, selon l’Agence de biomédecine. Elle mise sur cette nouvelle journée d’information pour sensibiliser les Français. « Quand tout va bien, on n’y pense pas.
Le don d’organe n’est pas un sujet dont on a envie de parler à un dîner en famille. Pourtant, on peut tous se retrouver un jour dans une situation de receveur », raconte Sébastien, 48 ans. Pour lui, tout a basculé en octobre 2017. Souffrant d’une pathologie du cœur diagnostiquée au cours d’un examen de routine en 2004, il a enchaîné traitements médicamenteux et pose de défibrillateurs cardiaques.
0 Commentaire