La fermeture de l'école d'Havange au cœur de l’hémicycle
Le sénateur Jean-Louis Masson a interpellé le ministre de l’Éducation au Sénat, sur le cas de la fermeture de l’école de Havange à cause d'un nombre trop faible d'élèves.
Selon le Républicain Lorrain qui relaie cette information, mardi, le sénateur Jean-Louis Masson a interpellé le ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer au Sénat, sur le cas de la fermeture de l’école de Havange à cause d'un nombre trop faible d'élèves. Jean-Louis Masson s’en est ouvertement pris à une logique comptable qui, selon ses propos « déshabille les zones rurales au profit des quartiers à problèmes. »
Jean-Louis Masson a d'ailleurs précisé que « dans la ruralité, on exige dix-neuf élèves pour maintenir une classe unique à tous les cours, alors que dans les quartiers urbains dits sensibles, le gouvernement a fixé le seuil à douze élèves pour des classes à un seul cours. ». Un seuil à 12 élèves qui est fixé également pour le secteur mosellan.
Le porte-parole du gouvernement a répondu s’appuyant sur le « déterminisme social » qui privilégie les familles aisées et avantagées géographiquement, pour justifier la mise en place des classes à douze élèves dans les zones prioritaires. L'intervention du sénateur a été applaudie.
Jean-Louis Masson a d'ailleurs précisé que « dans la ruralité, on exige dix-neuf élèves pour maintenir une classe unique à tous les cours, alors que dans les quartiers urbains dits sensibles, le gouvernement a fixé le seuil à douze élèves pour des classes à un seul cours. ». Un seuil à 12 élèves qui est fixé également pour le secteur mosellan.
Le porte-parole du gouvernement a répondu s’appuyant sur le « déterminisme social » qui privilégie les familles aisées et avantagées géographiquement, pour justifier la mise en place des classes à douze élèves dans les zones prioritaires. L'intervention du sénateur a été applaudie.
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