Le bras de fer est engagé entre la SNCF et les syndicats
Après l'annonce d'une grande réforme de la SNCF par Édouard Philippe hier, la CGT-Cheminots n'a pas tardé à réagir.
Le bras de fer est engagé entre la SNCF et les syndicats !
Après l'annonce d'une grande réforme de la SNCF par Édouard Philippe hier, la CGT-Cheminots n'a pas tardé à réagir. Et pour cause, le premier ministre a annoncé un recours aux ordonnances pour faire adopter "avant l'été" une réforme de la SNCF, avec notamment la fin du statut des cheminots pour les nouveaux embauchés.
Le premier syndicat à l'entreprise ferroviaire est prêt à mener dès le 12 mars prochain "un mois de grève" pour faire plier le gouvernement dans son projet de réforme du groupe public, selon son secrétaire général Laurent Brun. De son côté, la CFDT Cheminots propose une "grève reconductible à partir du 14 mars". "Statut et ordonnances sont des lignes rouges et de la provocation", a déploré Didier Aubert, secrétaire général de la CFDT-Cheminots, qui précise : "Le premier ministre va bien au-delà de ces lignes rouges".
Après l'annonce d'une grande réforme de la SNCF par Édouard Philippe hier, la CGT-Cheminots n'a pas tardé à réagir. Et pour cause, le premier ministre a annoncé un recours aux ordonnances pour faire adopter "avant l'été" une réforme de la SNCF, avec notamment la fin du statut des cheminots pour les nouveaux embauchés.
Le premier syndicat à l'entreprise ferroviaire est prêt à mener dès le 12 mars prochain "un mois de grève" pour faire plier le gouvernement dans son projet de réforme du groupe public, selon son secrétaire général Laurent Brun. De son côté, la CFDT Cheminots propose une "grève reconductible à partir du 14 mars". "Statut et ordonnances sont des lignes rouges et de la provocation", a déploré Didier Aubert, secrétaire général de la CFDT-Cheminots, qui précise : "Le premier ministre va bien au-delà de ces lignes rouges".
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