Le CNPE de Cattenom ne laisse rien au hasard
Le directeur du site Thierry Rosso, a présenté le bilan des activités 2018 et les enjeux et grands travaux pour 2019.
Le CNPE de Cattenom ne laisse rien au hasard.
Alors que ce millésime est, et sera marqué par plusieurs opérations de maintenance et de contrôles sur les tranches 1 (mai), 3 (juillet) et 4 (depuis janvier), Thierry Rosso le directeur du site en a profité pour rappelé le combat permanent pour garantir la sûreté au quotidien mais aussi en cas extrême.
Pour cela, le site est sur le point d'accueillir 2 diesels d'ultime secours, des DUS, afin de permettre l'alimentation électrique en toute situation en plus des cinq solutions de secours déjà existantes.
Cette année, la production devrait atteindre entre 30 et 35 milliards de kWh, soit l'équivalent de l'année écoulée et qui représente 65% des besoins en consommation du Grand-Est. Aussi, la centrale nucléaire de Cattenom vise les 40 ans d'exploitation voire même les 60 ans selon son directeur, ce qui amènera jusqu’en 2023 et la visite décennale des quatre réacteurs.
Une année 2018 très contrôlée
A 24 reprises, l'Autorité de sûreté nucléaire a inspecté la centrale, dont 8 fois de manière inopinée. 44 événements significatifs sûreté de niveau 0 sur l'échelle INES ont été signalés et 4 de niveau 1 révélateurs d'une anomalie. 7 événements significatifs de radioprotection de niveau 0 et 2 évènement significatifs environnement ont été enregistrés.
Une véritable fourmilière
Aujourd'hui, la centrale nucléaire emploie près de 2000 salariés (EDF et prestataires) sur son site. L'année dernière, 54 personnes ont été embauchées en CDI et une quarantaine le seront encore cette année. La centrale génère au total 4 000 emplois. Enfin, la centrale nucléaire de Cattenom a investit en 2018, près de 158 millions d'euros dont 25 % ont profité aux entreprises locales et régionales.
Alors que ce millésime est, et sera marqué par plusieurs opérations de maintenance et de contrôles sur les tranches 1 (mai), 3 (juillet) et 4 (depuis janvier), Thierry Rosso le directeur du site en a profité pour rappelé le combat permanent pour garantir la sûreté au quotidien mais aussi en cas extrême.
Pour cela, le site est sur le point d'accueillir 2 diesels d'ultime secours, des DUS, afin de permettre l'alimentation électrique en toute situation en plus des cinq solutions de secours déjà existantes.
Cette année, la production devrait atteindre entre 30 et 35 milliards de kWh, soit l'équivalent de l'année écoulée et qui représente 65% des besoins en consommation du Grand-Est. Aussi, la centrale nucléaire de Cattenom vise les 40 ans d'exploitation voire même les 60 ans selon son directeur, ce qui amènera jusqu’en 2023 et la visite décennale des quatre réacteurs.
Une année 2018 très contrôlée
A 24 reprises, l'Autorité de sûreté nucléaire a inspecté la centrale, dont 8 fois de manière inopinée. 44 événements significatifs sûreté de niveau 0 sur l'échelle INES ont été signalés et 4 de niveau 1 révélateurs d'une anomalie. 7 événements significatifs de radioprotection de niveau 0 et 2 évènement significatifs environnement ont été enregistrés.
Une véritable fourmilière
Aujourd'hui, la centrale nucléaire emploie près de 2000 salariés (EDF et prestataires) sur son site. L'année dernière, 54 personnes ont été embauchées en CDI et une quarantaine le seront encore cette année. La centrale génère au total 4 000 emplois. Enfin, la centrale nucléaire de Cattenom a investit en 2018, près de 158 millions d'euros dont 25 % ont profité aux entreprises locales et régionales.
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