Les "motards en colère de Moselle" ne relâchent pas la pression
Samedi, plus de 200 motards ont manifesté à Metz. La Fédération départementale s’oppose à la limitation à 80 km/h sur le réseau secondaire et appelle à de nouvelles actions.
Les motards en colère de Moselle ne relâchent pas la pression. Samedi, près de 250 motards ont manifesté à Metz. Une mobilisation nationale qui fait écho au premier mouvement initié il y a deux semaines, contre plusieurs mesures décidées par le gouvernement: la réduction de la vitesse à 80 km/h sur les routes secondaires, ou contre la hausse du prix du contrôle technique.
Une manifestation nationale est prévue ce samedi cette fois, à l'appel de la Fédération des motards en colère et l’association « 40 millions d’automobilistes ».
Arguments démagogiques
Citant dans un communiqué le Premier ministre Édouard Philippe, qui dit vouloir « sauver des vies » en promulguant la limitation de vitesse à 80 km/h, La FFMC 57 parle d’argument « démagogique » et avance ses propositions. Telles que le doublement « de toutes les glissières de retenue » , de rendre les autoroutes gratuites, « de s’arranger pour que l’entretien du réseau routier existant ne soit plus laissé à l’abandon comme tous le constatent depuis plusieurs années » ou que « les "stages de sécurité routière" soient proposés gratuitement dans les douze - vingt-quatre mois après le passage du permis ».
Une manifestation nationale est prévue ce samedi cette fois, à l'appel de la Fédération des motards en colère et l’association « 40 millions d’automobilistes ».
Arguments démagogiques
Citant dans un communiqué le Premier ministre Édouard Philippe, qui dit vouloir « sauver des vies » en promulguant la limitation de vitesse à 80 km/h, La FFMC 57 parle d’argument « démagogique » et avance ses propositions. Telles que le doublement « de toutes les glissières de retenue » , de rendre les autoroutes gratuites, « de s’arranger pour que l’entretien du réseau routier existant ne soit plus laissé à l’abandon comme tous le constatent depuis plusieurs années » ou que « les "stages de sécurité routière" soient proposés gratuitement dans les douze - vingt-quatre mois après le passage du permis ».
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