Meuse : Tombé à Verdun en 1916, le sergent Fournier sera inhumé mercredi
Un siècle après avoir été tué dans la bataille de Verdun, le sergent Fournier, premier soldat français de 14-18 identifié génétiquement, sera inhumé mercredi à Douaumont.
Un siècle après avoir disparu dans la bataille de Verdun, le sergent Claude Fournier, premier soldat français de 14-18 identifié génétiquement , sera inhumé mercredi dans la nécropole nationale de Douaumont dans la Meuse en présence de son petit-fils.
Lors de travaux au Mémorial de Fleury-devant-Douaumont, un engin met au jour trois squelettes quasiment entiers, complètement enchevêtrés. Une plaque d’identité militaire est retrouvée dans un tas de terre évacuée à 200 m du trou.
L’objet appartient à Claude Fournier, incorporé en 1900 à Mâcon. Les archives révèlent que le sergent, né le 27 novembre 1880 à Colombier-en-Brionnais, en Saône-et-Loire, appartenait au 134e régiment d’infanterie et a été « tué à l’ennemi » devant Douaumont le 4 août 1916 à l’âge de 35 ans.
Les données morphologiques de la fiche matricule semblent correspondre à l’un des trois squelettes retrouvés. Des analyses génétiques ont confirmé l’identité du disparu. Une autre histoire impliquant un Poilu a trouvé son épilogue, cette semaine : une lettre rédigée par Jean Soulagnes, mort au front en 1915, a pu être restituée à l’un de ses descendants, retrouvé grâce aux réseaux sociaux. (AFP)
Lors de travaux au Mémorial de Fleury-devant-Douaumont, un engin met au jour trois squelettes quasiment entiers, complètement enchevêtrés. Une plaque d’identité militaire est retrouvée dans un tas de terre évacuée à 200 m du trou.
L’objet appartient à Claude Fournier, incorporé en 1900 à Mâcon. Les archives révèlent que le sergent, né le 27 novembre 1880 à Colombier-en-Brionnais, en Saône-et-Loire, appartenait au 134e régiment d’infanterie et a été « tué à l’ennemi » devant Douaumont le 4 août 1916 à l’âge de 35 ans.
Les données morphologiques de la fiche matricule semblent correspondre à l’un des trois squelettes retrouvés. Des analyses génétiques ont confirmé l’identité du disparu. Une autre histoire impliquant un Poilu a trouvé son épilogue, cette semaine : une lettre rédigée par Jean Soulagnes, mort au front en 1915, a pu être restituée à l’un de ses descendants, retrouvé grâce aux réseaux sociaux. (AFP)
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